Sometimes I'm blue






Le boum bam du bim bam. J'ai peur du noir quand je suis dans le noir, peur du jour quand je suis dans le jour.
Il est 16h07, je prends trop de dolipranes. Je bois une gorgée. Sec. A sec. Demi Sec.

Ligne de basse et éclectisme. Tant que ça tient la route baby. Un couplet de série B. Des talons de pute dans un hôpital. Il est 16h08.
Je me tâte. Je me touche. Mais surtout tu te touches. Bienvenue en enfer.
Ne me touche pas.
Ne me touche plus.
Je ne t'en veux pas.
Je ne t'en veux plus.
Passons. Passons. Et encore.

Please Stand Up. Please Stand Up.
Sometimes I'm unhappy because sometimes I'm blue. Ok.
Where is the Love???
Shut up.

Il évoque ses sujets de masturbation. Mais pas trop.
Nous avons oublié de regarder ma mère. Nous prenons le train. Nous achetons des tickets.
Un tramway, un tramway nommé bla bla.
Je te prends en filature, tu n'es pas un filet, mais j'ai filé. Le matin les réveils sont durs. Je manque un morceau de comté avec des Special K ou des fausses Special K Carrefour, qui sont d'ailleurs dégueulasses.

Je ne suis plus impatient de rien, je me laisse attendre. Ton inconséquence est jouée et bien trop fausse pour être vraie.
Je veux tes bras, je les veux. En long en large en travers. Partout me recouvrant m'égorgeant me persécutant.
Post It : enregistrer PBLV.
Je te donne tout ce que je suis.
Bye.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

c'est pas Jacques qui était appelé JAROD, mais A. Rabourdin !