J'ai envie de te vomir dessus.
Je suis énervé et fatigué comme il se doit. J'ai un mal de crâne persistant, je bois un jus d'orange. Avant de partir j'ai pris du saumon fumé sur des blinis légèrement beurrés, je regardais Pblv. Sybille est paranormale, Mélanie a brisé le lien. La montée est intense mais la conclusion est toujours nulle, un peu comme un vieux morceau de techno.
J'ai beau réécouter et encore réécouter le Body Box mix de Bill Ambrose, je suis toujours autant convaincu de la perfection et de la justesse du mix.
Il y a le track de Private Lives sorti en 2007 sur Soul Jazz (?) qui est une tuerie. Le réentendre il y a pas longtemps en live m'a complètement renversé. C'est ce néo disco nébuleux qui pourrait se répéter encore et encore jusqu'à l'ivresse.


Ce soir je me réveille de ma léthargie latente. Hors de propos et complètement disciplinée, Canout lit le prix fémina avec ses cheveux en bataille. Elle n'a pas débarrassé son Activia mais il est clair que je ne peux lui en tenir rigueur.
Je crois qu'elle est censée m'engueuler car j'écoute Jamie Jones un peu trop fort mais elle ne m'en tiendra pas rigueur non plus. Ce morceau 911 est peut être trop.
Il est dramatique en fait. D'ailleurs la plupart des prods de Jamie Jones sont toujours aussi excellentes. Je repense à Harajuku de fin 2007 ou la relecture du To The Bone de Danton Eeprom.

Jamie Jones - 911 [Crosstown Rebels]

Je suis déphasé et dépassé par tout ces revivals. Je vais un peu à l'essentiel.

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