Jamie Jones - Harajuku

"shoote toi au doliprane"

Mes muscles se retissent. Paul Denton, Sean Baterman, Rock'n'roll, Demerde toi.
Mal de crâne, mal de crâne et mal de crâne. Voilà pour le programme.
J'avale le dernier strepsil de la journée.

Je suis largué, very largué sur toute la ligne. Ce soir j'ai mangé une côte de porc et du poulet. J'ai forcément regardé Plus Belle La vie.
A la pharmacie, j'aurais préféré éviter d'en arriver là.
Hier soir j'ai vu Into the Wild. Reponse : Oui mais nan.
Le podcast de Brodinski est une tuerie, le mix de Mikhail pour le Socail Club est divin.

J'ai bien trop souvent l'impression que les escalators n'ont pas d'issue, qu'ils sont infinis. Aujourd'hui j'ai eu cette impression de prendre des escalators toute la journée, d'entendre le bruit du roulement, de voir les gens s'y mettre à droite, de prendre un gratuit à la sortie. Ma main tenait le rebord droit. Ça m'a fait penser au fait que je n'étais pas allé depuis longtemps à Carrefour.

Le nez me piquait, la gorge me brûlait.
"Le bonheur n'est beau que partagé"
Je ne suis pas allé aux deux amphis de cette aprem, exténué pourrait être l'adjectif correct.

La couette me brûlait le corps. Mes cheveux étaient bien sur pas coiffés. Mon corps avait chaud. La lumière était éteinte. Ma mère est montée sur le rebord du lit. Les lois de l'attraction était sur le lit mais juste sur le lit. Mes mains tenaient le haut de la couette. J'ai versé une larme à chaque oeil au moment où j'ai poussé mon dernier bâillement. J'ai des millions de films de retard. J'en attendais pas mieux. Mon maître mot. Dormir.

Mon médecin est vraiment nul.



Aucun commentaire: