Marie-Juliette Chastanet Soavi a toujours raison.


Tu crois que tu peux cesser de donner des nouvelles? Tu tiens jamais tes promesses. Avec le temps, on s'y habitue, et on n'attend plus avec impatience que tu appelles comme tu l'avais dit, puisque tu auras toujours quelque chose à faire avant, pendant, après, ou bien alors cela t'est même sorti de la tête. Aucune importance. Je te l'ai dit, je m'y suis habituée, je ne suis plus vraiment triste, ni même énervée, à quoi bon? Si j'ai décidé de t'aimer comme tu es alors je dois aussi accepter ce que je déteste le plus chez Toi.
Cela ne m'empêche pas de penser à Toi, d'attendre ton retour avec impatience, de t'aimer secrètement, de mal vivre ton absence.
Je sais pas si j'appréhende, je sais pas si je vais devenir malade, je sais pas si je serais capable de supporter le vide que tu vas faire dans ma vie. Je me pose pleins de questions, et je sais que lorsque tu seras rentrée, elles ne seront plus. Tu es la réponse à toutes mes questions. Je n'ai pas avoir peur, tu es là.

J'ai changé les draps pour ton retour, j'attends que tu viennes t'endormir près de moi, que tu ronfles parce que tu es "défoncée" (l'excuse en mousse), que tu fasses "That's Some Bad Hat Harry" à chaque fois qu'on regarde Dr House, que tu illumines mes jours comme mes nuits de ton rire de débile et de tes bisous d'amour.

Certes je me suis habituée à tout tes travers. Mais de te savoir loin de moi, je m'y ferai jamais.

2 commentaires:

pauldu91 a dit…

Ah ah en fait ça me fait plutôt rire là.
Avec le temps on s'habitue à tout.

Et tout comme moi tu changes les draps pour quelqu'un. Toujours.

pauldu91 a dit…

Ah ah en fait ça me fait plutôt rire là.
Avec le temps on s'habitue à tout.

Et tout comme moi tu changes les draps pour quelqu'un. Toujours.