Tes intonations perdent d'intensité de jour en jour. Tu relances la consommations à forces d'à coups, moins inutiles d'ailleurs qu'on aurait pu le penser. Alors que toi tu franchis les interdits (moraux) en toute impunité. Je grignote des pousses de roquette. 11h41, je bois un tropicana. Je me donne la sensation d'avoir été réveillé par cet état de fait. Je devrais penser à prendre ma douche dés maintenant. J'ai raté PBLV. Jeu malsain et puissance divine, je n'y crois pas un seul instant. Ce retour n'est pas tonitruant. Il sonne un peu faux. Chut. 14h06, il me faut un thé. Je ne suis pas énervé. Disons que je suis sorti de la léthargie ambiante dans laquelle je m'étais cloîtré. Sans réellement le vouloir. Dés lors je n'en suis plus à panser des plaies. Ouvertes à vif. Je ne sens plus grand chose. Toutes les odeurs et les souvenirs nauséabonds ont disparu. Poussière.

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