Claude Von Stroke - Who's afraid of Detroit


Tout était fait pour que tout soit mal.


L'extérieur n'est pas intéressant, aujourd'hui seul moi compte.


Mon père dit avoir mangé des beaujolais. Je découvre que la fête "secrète" du Paris Paris était en fait pour les 2 Many Dj's (ou Soulwax c'est selon). La Tsugi avait l'air énorme mais bon restrictions obligent.


Je m'en remettrai donc au Sony, j'oublierai doucement que Kamo connaît Alexandra. Je boirai des gorgées de bière glacée sur l'esplanade de Diderot.


Je ferai des cartes.



Nan, nan et nan.


Ça me rappelle cette phrase qui m'a tourné aujourd'hui dans la tête "quand la souffrance engendre la jouissance", j'avais lu ça sur une pub pour un porno à Pigalle.


Hier au fin fond de ma dépression j'ai écouté le flot, le coulis de cette musique douce et effrayante, Aril Brikha.


A deux heures du matin, mes pieds étaient encore tout froids.

A 10 heures, un orangina se déversait dans ma gorge.

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