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Mais finalement je suis toujours étonné de voir que cet album sorti sur Tresor (et non sur Axis du coup), à la tendance pourtant bien abrupte et bien engagée en général, sans doute Lang = allemand = Tresor, mais ça semble un peu facile comme conclusion.
L'ayant écouté il y a déjà un certain temps j'avais été interpellé particulièrement par le côté électronique de l'album. Et aujourd'hui sans doute le contexte jouant, j'ai vu tous les tracks cachés ciblés ambient. Et j'ai découvert un tout autre chose dans cet album. J'ai enfin compris la fascination autour de Jeff Mills sur la production à partir d'aujourd'hui. Les trois morceaux les plus fleuves de l'album sont ci-dessous. A écouter bien fort, seul et sous la pluie.
jeff mills - they who lay beneath
jeff mills - convicted to paradise - maria
jeff mills - new beginning
3 commentaires:
Même encore aujourd'hui le 'vieux son' de Jeff Mills reste hyper futuriste. Cet homme a toujours été et restera toujours des années-lumières avant nous. Un exemple.
assurément
Bonne intervention sur un monument de la techno ... Merci Mr Mills pour nous faire comprendre le mot "futur" !
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