Tu t'amuses mais tu ne m'amuses pas connard.
Il est 17h30 et c'est Prison Break. J'arrive même plus à savoir ce que je dois en penser. Et je crois que le pire c'est ça. Une chose est sûre, la préméditation. Elle est le dénominateur commun à tout ça.
Pendant que l'autre débile ne trouve rien d'autre à faire que commenter des photos sans intérêt.
Sandra propose de me voir alors qu'elle n'a aucun jour de libre. Sandra quoi.
Clara aka Cathy Guetta me peel le visage.
L'autre fait un blog un peu débile et tout le monde fait semblant de kiffer. Bref on s'en fout.
Il est 17h52, je ne suis pas fatigué, je regarde Twin Peaks pendant que Canout envoie un sms sur le fixe avant de partir à Londres. Je mange du poulet frit en buvant une canette de Coca Cola dégueulasse.
Il fait nuit enfin je crois, on m'a mis un plan car je dois avoir une tête à ça.
Mes rêves érotiques sont poignants, je me voyais rejouant la scène de Eros dans un bus. Avec moi dans le rôle de la femme et, dans le rôle de l'homme, ce lui qui était parti depuis bien longtemps. Mais qui revient souvent avec lanscinence là où on ne l'attend pas. Sa présence n'est pas anodine. Un peu comme la taille de son sexe, même si je ne l'ai jamais vu. Bref ça survole tout.
J'écoute la fabric de Ewan Pearson en mangeant du Leerdammer un peu fondu.
La relecture dynamique.
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