J'ai imaginé toute la Nuit ta Mort. Ce que ça ferait si un jour tu venais à disparaître. J'ai un peu plus peur chaque jour. Tu t'en fout.
Cette discussion était douloureuse. Mais nécessaire. Ta voiture devant la chaîne des pompiers. Ton rire. La musique que tu mets trop forte pour dissimuler l'angoisse. Ce téléphone qui vibre sans cesse. La manipulation des mots, comment tourner les choses sans ébranler les restes de l'Empire. Je me vautre dans ma mer de bonheur mais toi, tu vas crever. Je plonge sans retenue dans le néant de tes problèmes. Tu peux essayer de m'en empêcher, je le ferai quand même. J'ai envie de remuer la merde, pour parler vulgairement. Que ta vie éclate en morceaux. Que tu te reconstruises.
Midnite. Tu crois que je ne t'ai pas vu? L'insupportable vérité. Je suis à toi. Alors je peux bien jurer et sortir les griffes et te blesser jusqu'au sang. Je suis à toi. Je me noie dans ma mer de bonheur. Pas-la-choune.
Je ne verrai pas Sebo K aux platines. Il est l'heure d'aller au lit. Il est l'heure d'aller dans son lit. Pas le mien. Le sien. Je hais ce lit plus que de raison mais je serai capable de lui donner un peu d'affection si nous y passions une vie entière. Si tu y restes avec moi, cela va sans dire.
Je suis une fille équilibrée, c'est pas une blague.
Pendant ce temps-là, nous vivons le Rouli-Dindin à Champigny, je sursaute et je vibre, je bois un mousseux immonde mais je n'éclate pas la bouteille sur ce bitume. Chilien est comme un père. Il est de nature inquiète. Par contre Basile c'est pas le Roi du Pétrole et encore moins le Roi de la Blague quoi. Mais nous n'avons jamais été autant en connexion intersidérale que ce ouikende. Marion a vraiment des idées à la con par contre quand il s'agit de me mettre à la page sur PBLV elle est toujours dans la place. En parlant de ça, Nicolas est vraiment plus bandant en hétéro. Même si la morue qu'il se tape me donne la nausée. Au fumoir j'ai montré à un Allemand comment je parlais bien sa langue. Nous avons eu tout de même quelques difficultés à nous comprendre. Nathan se fait souvent violenter et se donne le droit pour la peine de tousser dans mon écharpe.
J'ai pas mangé de Pitch. Je devrais être contente au fond. Je m'évite de gros ennuis. Ma grève de la faim est enfin terminée. Je claque la bise avec une assurance qui me rend tout simplement indestructible. Je suis sincère, crois-moi. Le Noctibus fait des marches arrière sur l'autoroute, c'est ça qui est bon. Mikhail a perdu ses cheveux (c'est la rumeur qui court) et Dimitri est tombé dans les escaliers. L'eau norvégienne et le poivre moulu me manquent. Je vais au musée d'Art Moderne parce que je cherche à me repentir. Nathan me dit "Et les fripes c'est par où?". J'essaie de puiser à la source tout ce qu'il me faudra pour mon partiel d'Art. Je suis une dingue, oui, mais équilibrée.
Toi qui fais parti du gang de mes séducteurs passés...
Muffin à température ambiante quoi.
Cette discussion était douloureuse. Mais nécessaire. Ta voiture devant la chaîne des pompiers. Ton rire. La musique que tu mets trop forte pour dissimuler l'angoisse. Ce téléphone qui vibre sans cesse. La manipulation des mots, comment tourner les choses sans ébranler les restes de l'Empire. Je me vautre dans ma mer de bonheur mais toi, tu vas crever. Je plonge sans retenue dans le néant de tes problèmes. Tu peux essayer de m'en empêcher, je le ferai quand même. J'ai envie de remuer la merde, pour parler vulgairement. Que ta vie éclate en morceaux. Que tu te reconstruises.
Midnite. Tu crois que je ne t'ai pas vu? L'insupportable vérité. Je suis à toi. Alors je peux bien jurer et sortir les griffes et te blesser jusqu'au sang. Je suis à toi. Je me noie dans ma mer de bonheur. Pas-la-choune.
Je ne verrai pas Sebo K aux platines. Il est l'heure d'aller au lit. Il est l'heure d'aller dans son lit. Pas le mien. Le sien. Je hais ce lit plus que de raison mais je serai capable de lui donner un peu d'affection si nous y passions une vie entière. Si tu y restes avec moi, cela va sans dire.
Je suis une fille équilibrée, c'est pas une blague.
Pendant ce temps-là, nous vivons le Rouli-Dindin à Champigny, je sursaute et je vibre, je bois un mousseux immonde mais je n'éclate pas la bouteille sur ce bitume. Chilien est comme un père. Il est de nature inquiète. Par contre Basile c'est pas le Roi du Pétrole et encore moins le Roi de la Blague quoi. Mais nous n'avons jamais été autant en connexion intersidérale que ce ouikende. Marion a vraiment des idées à la con par contre quand il s'agit de me mettre à la page sur PBLV elle est toujours dans la place. En parlant de ça, Nicolas est vraiment plus bandant en hétéro. Même si la morue qu'il se tape me donne la nausée. Au fumoir j'ai montré à un Allemand comment je parlais bien sa langue. Nous avons eu tout de même quelques difficultés à nous comprendre. Nathan se fait souvent violenter et se donne le droit pour la peine de tousser dans mon écharpe.
J'ai pas mangé de Pitch. Je devrais être contente au fond. Je m'évite de gros ennuis. Ma grève de la faim est enfin terminée. Je claque la bise avec une assurance qui me rend tout simplement indestructible. Je suis sincère, crois-moi. Le Noctibus fait des marches arrière sur l'autoroute, c'est ça qui est bon. Mikhail a perdu ses cheveux (c'est la rumeur qui court) et Dimitri est tombé dans les escaliers. L'eau norvégienne et le poivre moulu me manquent. Je vais au musée d'Art Moderne parce que je cherche à me repentir. Nathan me dit "Et les fripes c'est par où?". J'essaie de puiser à la source tout ce qu'il me faudra pour mon partiel d'Art. Je suis une dingue, oui, mais équilibrée.
Toi qui fais parti du gang de mes séducteurs passés...
Muffin à température ambiante quoi.
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