Laissez-Passer.


J'aime te lire. J'aime te lire car ton écriture demande de la réflexion. Une réflexion dans le temps et les événements. Ton écriture est toute pleine de codes que nous sommes seuls à comprendre. Toute pleine de choses que je vis avec toi. Et personne d'autre.
Pendant ce temps-là, Jo joue le Tyran des Sentiments. Pourtant je fais de cette semaine l'instant X. Le tient comme le mien. Peu importe. Je lis cette phrase et je ressens toute la douleur et la frustration qui en émanent. J'ajoute ta colère à la mienne. Je n'ai qu'une envie, le frapper jusqu'à la mort, lui faire manger de la frite jusqu'à implosion de son corps que je hais tant.
Je me sens faible. J'invente des codes dans notre relation qui n'existent pas. Je ne résiste pas à ce polo noir qui me crache à la gueule tout ce qui m'excite le plus en toi. Je feins l'indifférence avec difficulté. Je vous demande si c'est vraiment un problème, si je continue tout comme avant tout en me disant dans ma tête que c'est terminé. Ca marche non?

Demain c'est décidé j'arrête tout.

Et pendant ce temps-là encore, tout un monde s'écroule, ton Empire s'effondre, et je te regarde tomber, lentement. Je n'ai jamais été aussi malheureuse. J'essaie de me dire que rien n'est grave et que jusqu'ici on peut s'en sortir. Ce n'est pas vrai. On veut croire que ce n'est rien, mais en réalité c'est tout. Les fondements de ton Empire, chérie. Attendre. Je me refuse à cette idée mais je n'ai pas le choix. J'attends. Jusqu'à ce qu'il soit trop tard.

2 commentaires:

Lili a dit…

Bonjour. J'aime votre blog. Je suis une fille de l'Espagne. J'ai créé un blog thème de la servitude et je voudrais que vous avez vu. Le texte est en espagnol, mais les images parlent d'elles-mêmes. Je suis en attente. A greetinghablan si par SOLAS.

Anonyme a dit…

c'est peut etre un peu cette tyranie qui nous rapproche. Tu me manques et dans quatre longues semaines je suis là. Tout près de toi. Toi si jolie, mon Harry patapouf. (L) Mon amour.