C'est une sorte de macarena tout en décadence. Le doigt devant, le doigt derrière.
Ce garçon est hyperbolique.
Va nourrir les pauvres.
Je ne fais rien que des bêtises.
Je suis impatient d'être à lundi. Je mange une banane en regardant le zapping et je me dis que c'est triste de déjeuner des carottes râpées mais qu'on doit faire avec. Ma vitesse est excessive dans les rues de cette ville qui semble désaffectée.
Je reçois des relevés de la banque pendant que mon père range les noix à côté des speculoos, ou quelque chose du genre. Je crois avoir grossi un peu plus en engloutissant du gruyère râpé. Oui mais sans carbonara, je ne suis pas à cette école.
Je déroule ces écouteurs qui ne serviront en fait pas.
Je dois acheter un cadeau crédible à Choupi.
Il est 15h38, je ne suis même pas fatigué. Peut être triste. Ou peut-être pas.
L'autre pute se la joue vintage retro et tout et tout. Ça me fait rire mais il est GROS.
J'ai encore cassé mes lacets mais cette fois ci, à 2 ou 3h. Respectable.
Ma petite gousse de vanille me fait passer des nuits paisibles même quand je gratouille la barre de fer du bout du lit pendant toute la nuit. Je dors avec Yuksek qui s'entoure autour de moi. Je me demande comment il fait l'amour. Je te vampirise le cou et tu es déjà aveugle.
Tu me réveilles en me paulichonant. Paulichone.
Camo joue de la guitare. Je lis les people. Sandrou me fait un câlin, je lui gratte les pieds. Vanou se laisse toucher les seins. Il est 15h43 et je pense à m'endormir. J'aimerais qu'il pleuve mais je peux me brosser. Je vais boire une infusion avec une Benson.
Bye chéri.
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