"Je croyais que les mecs des Strokes étaient mort en même Temps que les Beatles..."


Maintenant que je sais qui tu es je n'ai plus peur. Je croyais te jalouser un peu, mais ce n'est pas vrai. C'était juste la peur qui me donnait l'Illusion d'être jalouse et de t'envier. Mensonge. Tout porte à croire que nous avons des choses en commun. Mensonge. Nous ne sommes semblable en rien, chérie, enfonce-toi cette idée dans la tête. Je ne cherche pas à dire que j'ai tout de plus que toi (même si cela m'amuserait de le penser secrètement, je n'y arrive pas) mais tu n'as rien de ce que j'ai et cela change tout. Je ne vais pas écrire un roman pour toi, je n'ai rien à te dire de particulier.
C'est juste que je me sens soulagée de savoir qui tu es. Avant, tu n'étais qu'un nom sur un visage que je ne connaissais pas. Aujourd'hui, je peux coller des phrases et des pensées sur un visage et un nom que je veux oublier. Le mystère est enfin tombé et je ne dirai pas que je suis réellement déçue, mais presque. Totalement.
Tu as perdu tout ton charme de Terrible Inconnue. Car contre l'Inconnu on ne peut jamais se battre. Pas tellement que je sois quelqu'un de violent, rien à voir. L'être humain est fait comme tel, il se pose sans cesse des questions et cherche à tout prix à y répondre.
Je me demandais souvent pourquoi. Mensonge? Absolument pas.
Je voulais te voir, te scruter, t'analyser. Je ne sais pas si j'ai toujours envie de le faire, je crois que maintenant c'est Inutile. Toujours est-il que je me comportais comme une Egoïste Romantique pure. Même si c'est Douloureux, c'était vital. Cette Nécessité de voir l'autre. Deux chemins sont possibles, la Finalité est la même. C'est terminé.

Je vais te dire un secret. Mais tu le gardes pour toi hein?
Tu sais ce qui m'a permis de ne pas m'attarder sur le souvenir d'une affection particulière? Le nombre de fautes d'orthographe que tu fais quand tu écris.

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