Cesse. Reprends ton souffle. Inhale ces particules toxiques. Inonde toi d'immondices. C'est l'apothéose du calvaire. Bientôt l'indissociable et indicible vérité. Demain quand il fera jour, ils dormiront et je périrais dans le travail. La route est maculée de détritus. Le chauffage crache de l'air brûlant. Brûlant des cellules déjà mortes de ma peau. Je ne pleure pas car je n'y arrive pas. Il est 0h57. Je ne suis pas malheureux car ça serait trop. Je remarque juste que dans chaque scène des films de Desplechin on fume des cigarettes.
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