La réédition du Metropolis en 2010 est du genre à tomber à pic. Et de toute manière c'est un peu la bonne année pour Jeff Mills, ses eps n'avaient pas été plébiscités à ce point depuis longtemps, je pense notamment aux Something in the Sky dont un dont je vous avais déjà parlé ici. Mais c'est aussi dans chacun de ses djs sets qu'il ramène sa tr-909, les concevant presque comme des lives. Et donc cetté réédition qui vient de paraitre il y a quelques jours. On ne reparlera pas de l'histoire avec le film de Fritz Lang que tout le monde a entendu maintes et maintes fois.
Mais finalement je suis toujours étonné de voir que cet album sorti sur Tresor (et non sur Axis du coup), à la tendance pourtant bien abrupte et bien engagée en général, sans doute Lang = allemand = Tresor, mais ça semble un peu facile comme conclusion.
L'ayant écouté il y a déjà un certain temps j'avais été interpellé particulièrement par le côté électronique de l'album. Et aujourd'hui sans doute le contexte jouant, j'ai vu tous les tracks cachés ciblés ambient. Et j'ai découvert un tout autre chose dans cet album. J'ai enfin compris la fascination autour de Jeff Mills sur la production à partir d'aujourd'hui. Les trois morceaux les plus fleuves de l'album sont ci-dessous. A écouter bien fort, seul et sous la pluie.
jeff mills - they who lay beneath
jeff mills - convicted to paradise - maria
jeff mills - new beginning
3 commentaires:
Même encore aujourd'hui le 'vieux son' de Jeff Mills reste hyper futuriste. Cet homme a toujours été et restera toujours des années-lumières avant nous. Un exemple.
assurément
Bonne intervention sur un monument de la techno ... Merci Mr Mills pour nous faire comprendre le mot "futur" !
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