Nous brûlons quelque peu les étapes dites classiques. Je l'ai su dès le début, nous ferions n'importe quoi. Nous serons n'importe quoi. Mais ce n'est pas vraiment important, rien n'est fait dans l'ordre parce que nous ne sommes pas fait pour ça. Nous avons inversés les lois de l'attraction.
Tu as longtemps résisté. J'étais un peu Salomé, je voulais ta tête sur un plateau d'argent. Je ne t'ai pas demandé la permission de te faire mien, et je savoure la jouissance de celle qui a vaincue dans la souffrance.
Pendant ce temps-là, la MAN CAV est devenue peu à peu ma seule raison d'être et d'exister.
Mes études me font jouir.
Je rejoins Alicia dans le silence glacial de la nuit, nous fumons quelques cigarettes allongées sur le bitume. Je prends le bus avec nostalgie, je dis bonjour avec nostalgie, je regarde dans le vide avec nostalgie. Vous êtes aujourd'hui les joyeux fantômes du passé. Mais je n'oublie rien. Il est temps de s'échapper. Mais je n'y arrive pas. Ce banc c'est toi, ces toilettes c'est toi, cette herbe c'est toi, cette cigarette qui se consume c'est toi. Rien n'a changé non pas parce que je suis toujours là, rien n'a changé et même après mon départ, rien ne changera jamais. Il n'est plus question ici de se tenir toujours à la même place, ni même de nager à contre-courant. Rien n'a changé.
Tu m'emmerdes parfois, souvent, tout le temps. Tu parles sans cesse de futilités, tu me fais perdre mon temps, je ne t'écoute pas, j'attendais que tu fermes ta gueule. Tu mens souvent, tout le temps, je n'aime pas te trouver pitoyable et pourtant. Ta fierté est en mousse. Mal placée et en mousse. Tu tentes de me faire culpabiliser et je trouve que tu vas trop loin. Tu es égoïste, tu m'en veux, j'ai déjà tout oublié mais tu m'en veux encore. J'attendais que tu fermes ta gueule, je ne réponds plus à tes questions, ni à tes attentes.
Tu connais les bails, je n'ai rien à faire avec quelqu'un comme toi.
C'est Cheap mais pas trop.
Tu as longtemps résisté. J'étais un peu Salomé, je voulais ta tête sur un plateau d'argent. Je ne t'ai pas demandé la permission de te faire mien, et je savoure la jouissance de celle qui a vaincue dans la souffrance.
Pendant ce temps-là, la MAN CAV est devenue peu à peu ma seule raison d'être et d'exister.
Mes études me font jouir.
Je rejoins Alicia dans le silence glacial de la nuit, nous fumons quelques cigarettes allongées sur le bitume. Je prends le bus avec nostalgie, je dis bonjour avec nostalgie, je regarde dans le vide avec nostalgie. Vous êtes aujourd'hui les joyeux fantômes du passé. Mais je n'oublie rien. Il est temps de s'échapper. Mais je n'y arrive pas. Ce banc c'est toi, ces toilettes c'est toi, cette herbe c'est toi, cette cigarette qui se consume c'est toi. Rien n'a changé non pas parce que je suis toujours là, rien n'a changé et même après mon départ, rien ne changera jamais. Il n'est plus question ici de se tenir toujours à la même place, ni même de nager à contre-courant. Rien n'a changé.
Tu m'emmerdes parfois, souvent, tout le temps. Tu parles sans cesse de futilités, tu me fais perdre mon temps, je ne t'écoute pas, j'attendais que tu fermes ta gueule. Tu mens souvent, tout le temps, je n'aime pas te trouver pitoyable et pourtant. Ta fierté est en mousse. Mal placée et en mousse. Tu tentes de me faire culpabiliser et je trouve que tu vas trop loin. Tu es égoïste, tu m'en veux, j'ai déjà tout oublié mais tu m'en veux encore. J'attendais que tu fermes ta gueule, je ne réponds plus à tes questions, ni à tes attentes.
Tu connais les bails, je n'ai rien à faire avec quelqu'un comme toi.
C'est Cheap mais pas trop.
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