Partir un jour


Il est vendredi. Week End de 4 jours. Merçi.

Ici c'est la tempête. Le vent bouscule les vases et plantes entreposés sur mon balcon. Les arbres sont violemment caressés. Il y a un sifflement qui s'infiltre dans les tuyauteries de l'immeuble. Tout bringueballe. Les lumières clignotent. Ce n'est pas l'apocalypse.

Hier Dieu m'est venu en aide. J'ai eu un signe. Il y avait de l'eau rouge qui sortait de mon robinet. J'ai cru qu'une nouvelle chose s'était passée.
J'ai encore raté PBLV hier mais enregistré tout de même.

Avec Juliette on s'est refait notre putain de Quick et nos putains de galères d'argent. Promis la prochaine fois je monte sur l'abri-bus. J'ai d'ailleurs trop mangé.
Puis j'ai vu la remballe et tout le blabla ou tout le bablès.

Hier mon Mp3 qui n'a plus de pile ça m'a dégoûté de tout. J'étais triste mais aussi triste et encore une fois triste.
Avec Omey nous avons dégusté un merveilleux Moca Blanc au Starbucks Bastille avant que Laurent nous rejoigne. J'espère que ce soir elle sera elle aussi de la partie. Parce que bon.
J'ai enfin rendu mes livres mais je n'ai pas voulu savoir pour combien de temps de pénalité j'en avais.

Mon père m'a donné des Marshmallows. Je dois finir cette putain de lettre.
Juliette, Marc et Clara m'ont appris à bien raccrocher en disant bisous.
Avec Clara on s'appelle trop à Biblio.


Pas de mélo. Pas de X mélo non plus. Pas Mélo non plus. Peut-être Lelo. Peut-être rien aussi.
Juliette prend des 402 et prendra toujours des 402.
Ce soir manif à 18h30 devant la mairie contre notre cher et tendre Dassault qui s'enflammerait un peu trop.


J'ai pas la gueule de bois, j'ai mal au nez. Je vais voir Elise Lucet et je vous informe pour la suite.




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