C'est pas comme si me bourrer de frites insipides m'avait amené à quelque chose. Me lever à 11 heures est pénible si si.
Mon mal de crane persiste mais cette deep house résiste. Bien que en allant chercher le pain il n'y avait plus de chocabars, plus aucun (c'est masculin). Et la vendeuse ridée détaillant pain au levain et baguette. Bref.
Les aprems avec ma Kamo et ma Modern sont des instants de bénédiction inégalables, car je chante et même bien. Bouffer ma crêpe presque cramée au sucre, se rendre soudain nostalgique. Être comme dérangé par Olivia, merde j'étais ému. Bizarre. C'est moi.
Ces quelques minutes de Zandrou. Tout ça, tout moi. Au fond ça me fait rêver.
Même si je suis comme un petit vieillard sans sa canne. Je meurt. Ah
1 commentaire:
C'est vrai que ces après midis sont des bénédictions.
J'aime.
Plus que tout.
Penser à rien. Mais t'entendre chanter. C'est insupportable, faut que tu le saches.
Aie Aie Aie.
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