Ce ne sont pas tes enfants qui te feront oublier ta peine. Allongé aux tuileries, les gosses hurlent. Je fume du tabac... allongé. Il est 14h, je n'ai pas mangé mais je n'ai pas faim.
L'autocomplimentation mutuelle pimente leur vie.
Leurs moqueries m'obsèdent.
Le jus d'orange d'il y a quelques jours s'est cristallisé.
Les odeurs sont à la limite d'être remarquées dans le reste de l'appartement.
Il y a du nineties qui crache dans ta station d'accueil ipod. Tes yeux ne suivent plus rien. Tu la caresses négligemment. A ce moment une chatte est une chatte.
J'ai le ventre qui explose. Le gruyère râpé gratine doucement dans la poêle. Les œufs coagulent sans se poser de questions. Mon visage est brûlé.
Je ne cesse d'essayer de te faire voir le dramatisme qu'il y a dans tes hits formatés type eurodance.
Tu n'y vois rien c'est la techno sombre qui donne le sourire.
Au détour d'une conversation j'apprends les invitations mystère. Mais par derrière. Je fais semblant de l'oublier. Je vois partout que mes non-invitations sont des attaques plutôt bien placés. Mais c'est toujours plus facile.
One more kiss. Like you said. On est drôles oui.
Oui vraiment.
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