You suck. Pas de pédés que des salopes.
16h29, apparitions des pommes. Mon cendrier est plus rempli que mon paquet et il n'y a plus de yaourts mure/framboise. Du neo disco passe en arrière fond.
Tu es déchu, tu es défait. Ta langue s'est fourrée dans un nombre incalculable de bouches.
Pendant que ivre, elle me raconte qu'il est là et qu'elle ne l'a pas reconnu. Il y a quelques mois il se croyait assez malin. Aujourd'hui il semble fasciné par le fait que je ne paye pas mon entrée. Pauvre de lui. Cette fois je ne lui offrirais aucune cigarette. Il fumait pour de faux.
Mes cheveux sont si beaux ce soir. Ils glissent entre mes doigts. J'arrive à les regarder. Je garde ma barbe. Histoire que l'on oublie le reste. On comble le moche par le moche. En tentant de cacher le plus évident.
Hier tu étais la pute, aujourd'hui le chérubin. Et tu n'as pas assez souvent tort pour que j'arrête de parler de toi. Seule ton influence sur moi n'existe plus.
Beautification of my world... of my life... of my love.
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