Je simule l'ivresse pour que personne ne s'intéresse à moi. J'aime mieux faire le chat. Elle me dit "Tu es un peu La Féline". On pourrait repprocher à Tourneur beaucoup de choses, mais jamais d'avoir fait un film sur moi. Voilà.
Cette nuit-là je prenais enfin plaisir à regarder un Bertolucci. Ses films promettent beaucoup et ne donnent jamais assez. Beauté Volée sera donc l'exception qui confirme la règle.
Là où je sais que je ne serai jamais comme toi, c'est qu'au delà de tout ce que je peux faire, je sais aussi pour quoi je le fais. Tu t'es oubliée. Tu as oublié qui tu étais. Car aussi loin que je me souvienne, tu n'as jamais été personne. Je te regrette déjà. Il n'existe plus aucune limite que tu n'aies déjà franchie. Tu crois que ce que tu tiens est réel et te fait exister, mais tu te trompes. Dans ton esprit, il y a des écarts que l'on ne rattrapera jamais.
Je crois que je me sens mieux. Je suis prête à dire des choses qui me dépassent. Je suis prête à dire des choses que je regretterai. Mais regarde, je ne dis rien. Je reste sage. Je reste calme. Je ne me moque pas trop de toi même si j'en ai besoin pour évacuer. C'est dans la nature humaine. Au fond, je n'aurai probablement pas fait mieux. On a peut-être la même faiblesse. Alors je ne serai jamais méprisante. Ou en tout cas, pas trop. Contrairement à toi, il me reste ma fierté. Take care sweety.
Oui, la fierté. Elle l'a oublié chez elle. Croire que l'on fait illusion c'est une chose. Visiblement, personne ne te croit. Visiblement, tu ne fais illusion qu'à ton égo surdimensionné. On croit au début qu'il y a un manque. On croit au début qu'on a peut-être fait une erreur. La seule erreur que j'ai pu faire avec toi, c'est penser que j'étais le problème. Tu ne me manques tellement pas. Tu m'agaces oui. Tu m'irrites. Ton besoin d'être toujours là, alors que ce n'est pas nécessaire. Ton besoin qu'on ne t'oublie pas. Ton besoin d'obliger les autres à te regarder.
Je bois ce thé délicieux en caressant Leeloo. Je fume cette cigarette sur le balcon. Je mange ca yaourt brassé 0% en pensant à Paul qui tape sur des touches. Je le trouvais beau ce matin. Il tire mes cheveux jusqu'à ce que je crie. Je ne désire plus qu'une chose. Et je Graou-Graou silencieusement. Pour rien au monde je ne dirai non. Pour rien au monde je n'abandonnerai.
Telle Volupie, je tiens la vertu sous mes pieds.
Cette nuit-là je prenais enfin plaisir à regarder un Bertolucci. Ses films promettent beaucoup et ne donnent jamais assez. Beauté Volée sera donc l'exception qui confirme la règle.
Là où je sais que je ne serai jamais comme toi, c'est qu'au delà de tout ce que je peux faire, je sais aussi pour quoi je le fais. Tu t'es oubliée. Tu as oublié qui tu étais. Car aussi loin que je me souvienne, tu n'as jamais été personne. Je te regrette déjà. Il n'existe plus aucune limite que tu n'aies déjà franchie. Tu crois que ce que tu tiens est réel et te fait exister, mais tu te trompes. Dans ton esprit, il y a des écarts que l'on ne rattrapera jamais.
Je crois que je me sens mieux. Je suis prête à dire des choses qui me dépassent. Je suis prête à dire des choses que je regretterai. Mais regarde, je ne dis rien. Je reste sage. Je reste calme. Je ne me moque pas trop de toi même si j'en ai besoin pour évacuer. C'est dans la nature humaine. Au fond, je n'aurai probablement pas fait mieux. On a peut-être la même faiblesse. Alors je ne serai jamais méprisante. Ou en tout cas, pas trop. Contrairement à toi, il me reste ma fierté. Take care sweety.
Oui, la fierté. Elle l'a oublié chez elle. Croire que l'on fait illusion c'est une chose. Visiblement, personne ne te croit. Visiblement, tu ne fais illusion qu'à ton égo surdimensionné. On croit au début qu'il y a un manque. On croit au début qu'on a peut-être fait une erreur. La seule erreur que j'ai pu faire avec toi, c'est penser que j'étais le problème. Tu ne me manques tellement pas. Tu m'agaces oui. Tu m'irrites. Ton besoin d'être toujours là, alors que ce n'est pas nécessaire. Ton besoin qu'on ne t'oublie pas. Ton besoin d'obliger les autres à te regarder.
Je bois ce thé délicieux en caressant Leeloo. Je fume cette cigarette sur le balcon. Je mange ca yaourt brassé 0% en pensant à Paul qui tape sur des touches. Je le trouvais beau ce matin. Il tire mes cheveux jusqu'à ce que je crie. Je ne désire plus qu'une chose. Et je Graou-Graou silencieusement. Pour rien au monde je ne dirai non. Pour rien au monde je n'abandonnerai.
Telle Volupie, je tiens la vertu sous mes pieds.
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