Je prends plaisir à traîner en pyjama douteux sur mon semi-matelas au sol ; nous écoutons quelques morceaux de cold rock en mangeant des yaourts à la Grecque. C'est devenu notre planque. Je me sens ok. Je me suis endormie défoncée et me suis réveillée dans un état second ; se sentir satisfait et sans envie ni besoin. Attendre.
Je dévore ce muffin. Je dévore ce bouquin tout en écoutant au combiné les conversations de Fanny.
Je me souviens de la Pyramide illuminée, de la douce musique de l'eau dans ce bassin. La nuit est noire, l'air frais, cela fait bien longtemps que nous n'avons plus peur. Pute borgne, dis-je.
Je regarde ces hommes dans ce labyrinthe ; j'aimerai y voir GD mais c'est un rêve. Je sens qu'elle commence à avoir peur alors je la rassure. J'étais dans un Paris by Night avec L. et E. et je me souviens avoir posé cette question, le nez appuyé contre la vitre de la voiture. Une de ces légendes urbaines auxquelles on ne veut pas croire étant enfant et qui prend tout son sens une fois que l'on est adulte et que l'on accepte un peu malgré nous la réalité. Je m'étais préparée à toutes les éventualités, même celle-là. C'est la Fascination du Pire. Rien de plus, et surtout rien de moins.
Il n'est que 14h quand mon portable se met à vibrer sur le parquet. J'émerge lentement. J'écoute de la musique cold. J'adore dire ça. Surtout si l'époque est tiède.
Je me plains souvent de n'avoir rien à lire, pourtant je commence toujours 4 ou 5 livres que je mets parfois un an et demi à lire et j'oublie certainement que j'ai une caisse sous mon lit de bons classiques. Je ne suis pas pressée, tu le sais.
Faux semblant ou Vidéodrome. Je joue la comédie. Tu as envie de m'en foutre une, tu as envie de me défoncer. Oui, je le sais. Mais moi je pense à autre chose. Ce n'est pas toi. Je m'attriste toujours de voir à quelle vitesse tout change ; en réalité je n'ai été motivée que par le désir de m'investir pour oublier. Donner trop de soi, en voilà une idée ; je me suis rétractée. Tétanisée que j'étais dans le clair soleil de 10h du matin. Damn it.
Va te faire foutre, taré débile !
Je dévore ce muffin. Je dévore ce bouquin tout en écoutant au combiné les conversations de Fanny.
Je me souviens de la Pyramide illuminée, de la douce musique de l'eau dans ce bassin. La nuit est noire, l'air frais, cela fait bien longtemps que nous n'avons plus peur. Pute borgne, dis-je.
Je regarde ces hommes dans ce labyrinthe ; j'aimerai y voir GD mais c'est un rêve. Je sens qu'elle commence à avoir peur alors je la rassure. J'étais dans un Paris by Night avec L. et E. et je me souviens avoir posé cette question, le nez appuyé contre la vitre de la voiture. Une de ces légendes urbaines auxquelles on ne veut pas croire étant enfant et qui prend tout son sens une fois que l'on est adulte et que l'on accepte un peu malgré nous la réalité. Je m'étais préparée à toutes les éventualités, même celle-là. C'est la Fascination du Pire. Rien de plus, et surtout rien de moins.
Il n'est que 14h quand mon portable se met à vibrer sur le parquet. J'émerge lentement. J'écoute de la musique cold. J'adore dire ça. Surtout si l'époque est tiède.
Je me plains souvent de n'avoir rien à lire, pourtant je commence toujours 4 ou 5 livres que je mets parfois un an et demi à lire et j'oublie certainement que j'ai une caisse sous mon lit de bons classiques. Je ne suis pas pressée, tu le sais.
Faux semblant ou Vidéodrome. Je joue la comédie. Tu as envie de m'en foutre une, tu as envie de me défoncer. Oui, je le sais. Mais moi je pense à autre chose. Ce n'est pas toi. Je m'attriste toujours de voir à quelle vitesse tout change ; en réalité je n'ai été motivée que par le désir de m'investir pour oublier. Donner trop de soi, en voilà une idée ; je me suis rétractée. Tétanisée que j'étais dans le clair soleil de 10h du matin. Damn it.
Va te faire foutre, taré débile !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire