"du tout, du tout"
Jean Pierre et Jean Paul sont sur un bateau.
Les cris étouffés, les sensations réveillés, le ressenti est impressionnant. Ce n'est pas la renaissance, c'est autre chose. On souhaiterait que certaines phases ne s'arrêtent jamais, ça parait simple et pourtant c'est tout. Sentir ses mains. Sentir sa respiration.
Sectionner le dernier tissus qui reste accroché, le voir se détacher lentement, partir avec cette vaguelette tonitruante par rapport au reste.
Le temps détruit tout? On est toujours le même, la perception est différente. Est-ce que l'on change, est-ce que l'on est au fond toujours le même? Le questionnement interne est enclenché mais la réponse parait déjà trouvée.
Je suis pourtant mine de rien complètement maltraité, je crois que je souffre physiquement des douleurs que l'on m'inflige.
Ma sensibilité est plus forte chaque jour. L'oubli est relatif. Ne nous prenons pas au sérieux, soyons heureux.
Je veux voir, je veux voir, je veux voir. Premier Baiser est un monument, les jingle sont ce qui se fait de mieux sur terre. Made devant une orgie de fromages on évitera. Le Demoniak Cheese est décevant. Le Netgear peut être carrément relou. Carlos est mort à 64 ans. Je rêve de pouvoir tenir à nouveau des dollars dans mes mains.
Le plus important pour la fin, je n'ai toujours pas mangé de galette.
1 commentaire:
la derniere phrase est à éditer
-LE mj
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