A la base d'un fanchou car j'ai ce mot dans la tête, qui soit dit en passant, ne veut rien dire.
Se remémorer ces moments où on écoutait The Dysfunctionnal Family.
Ce matin j'ai ouvert mes volets, j'ai vu ces énormes lianes grisâtres et translucides. J'ai compris rapidement que je serais bonhomme en ce jour sombre, sans pour autant être triste. Je n'ai rien suivi aux mots insolubles de Fassetta.
Bien plus important était ce croisement, ce regard de ce dimanche matin. Ou encore cette histoire d'appart, post-cours d'amphi du lundi. Je ne me suis pas cantonné à toutes ces histoires mais au fond ça me fait plutôt rire car je suis quelqu'un de plutôt marrant.
J'ai d'ailleurs remarqué que je sais beaucoup mieux encaisser des chèques que les faire moi-même.
La phrase la plus libératrice des trois derniers jours fut :
"Votre correspondant n'est pas disponible pour le moment."La plus drôle de l'année (de David Guetta) fut:
"J'espère qu'on ne va pas tous tomber dans le piège de la variété à 2 francs 50"
Voir son portable sonner. Le regarder. Boire ce chocolat brûlant, de l'écume blanche encore fumante. Un mince filet de fumée. Le paquet est terminé, c'est un peu une nouvelle vie. En pire.
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